Comment vous êtes-vous senti lors de votre éveil? Quel était votre état d'esprit, vos premières pensées?D’abord groggy, le réveil avait été difficile, il sortait d’un sommeil lourd, sans rêves. Comme si il avait été soumis à une anesthésie. La lumière trop forte l’avait en premier lieu aveuglé. Et le temps qu’il s’y fasse, la panique l’avait gagné. Forte, le prenant aux tripes. Il ne savait pas où il était. Il ne savait pas qui il était. Le sol était froid, immaculé, inconfortable, tout comme les murs de la pièce dans laquelle il se trouvait. Recroquevillé dans un coin il tâchait de prendre conscience de son environnement, rassemblée ses pensées et les quelques informations dont il disposait. Le visage enfouit dans le creux de ses mains, il faisait au mieux pour se calmer. Puis quelques instants après, il était debout, détermination sans failles dans le regard, il voulait sortir. Si la pièce possédait une porte, il ne parvint d’abord pas à l’ouvrir. Désorienté qu’il était, le blond avait fait le tour de la petite pièce, parcourant l’espace, longeant les murs dans l’espoir de trouver quelque chose qui l’aiderait à sortir. Une faible plainte s’était échappée de ses lèvres sèches ; il avait la bouche pâteuse. Et finalement il avait abandonné, se résignant, encore un peu tremblant. L’homme était sur le point de reprendre place au sol quand la voix robotique avait retenti, le faisant sursauter.
«
Bonjour H09-690. Bienvenue dans la ruche. »
Et la porte s’était ouverte.
Comment vous sentez-vous par rapport à la perspective d'être lancé dans un endroit inconnu peuplé de gens qui, comme vous, n'ont aucun souvenirs de leurs vies passées? Craignez-vous que tout ceci ne soit qu'une mise en scène? Croyez-vous devoir cohabiter avec des gens dangereux?L’inconnu inquiétait le blond, qui tâchait de s’adapter à sa nouvelle situation. Pas qu’il en eut mémoire d’une autre à vrai dire, mais il ne doutait pas que cette dernière fut anormale. Alors l’homme ne peut que ressentir un certain malaise alors qu’il progresse entre ces murs trop blancs, déjà fébrile de la crise de panique qui l’avait heurté dès son réveil. Le problème ne résidait pas dans la crainte qu’il eut à cohabiter avec des personnes peu recommandables, quoi qu’une fois identifié il aurait évité ceux-ci, mais plus dans l’absence d’informations. Mise en scène ou non, peu lui importait alors que son seul souhait était de quitter cet endroit au plus vite. Trop incertain de ce que ça lui coûterait, trop incertain de ce qu’il serait prêt à faire pour parvenir à cet ultime objectif, il restait perplexe face à tout ça. Après tout, si tous ces gens n’avaient eux non plus plus souvenir de leur passé, sûrement partageaient-ils un but similaire, n’est-ce pas ? Qui ne voudrait pas sortir de là après tout ?
Comment pensez-vous agir dans ce nouvel environnement? Allez-vous suivre le mouvement? Les règles? Êtes-vous un leader naturel qui cherchera à regrouper les gens? Voudrez-vous vous rendre utile auprès des autres? Chercherez-vous à percer le mystère de la ruche?Prudence était de mise alors que 690 était du genre à observer, silencieux dans un coin sans trop oser prendre part aux choses, ni même à s’intégrer. Il semblait presque indécis, une trop forte dose de paranoïa l’habitait. Si la ruche l’intrigue, si il veut en savoir plus tout autant qu’il veut sortir, chacune de ses actions est réfléchie, calculée avec un soin tout particulier. Ses pas hésitants tandis qu’il prenait enfin la décision d’aller explorer un peu les lieux, il ne faisait jamais rien qui ne puisse sortir de l’ordinaire sans s’informer avant. Voir avec d’autres ce qu’ils en savaient avant de franchir le pas, les règles toujours en tête pour éviter de commettre une infraction et de potentiels ennuis inutiles.
Possédez-vous un signe distinctif? Un bijou? Une alliance? Un tatouage?La peau vierge de toute marque encrée, 690 gardait une peau pâle. Ajouté à sa blondeur, on aurait presque pu en déduire approximativement ses origines.
Quelques très rares cicatrices viennent barrer sa peau, toutes discrètes, anciennes, et généralement bien cicatrisée. L’une au niveau de son bas ventre, et la seconde, autour de son genou gauche où l’on avait autrefois posé des broches. On pourra en observer les séquelles lorsque, certains jours, notre homme claudiquera dans les couloirs, tirant de temps à autre quelques grimaces de douleur.
Derrière l'écran je m'appelle
currrywurst et j'ai
19 piges. J'ai connu le forum
grâce à ce vieux truc qu’est 042 et qui m’a corrompue et mes premières impressions sont
plutôt pas mauvaises ! Je confirme avoir lu les règlements du forum et les règlements de la Ruche et je m'engage à les respecter dans la joie et la bonne humeur,
OUI. Ce personnage
N'EST PAS UN DC. Dernière chose,
JE N'ACCEPTE PAS DE jumeau pour mon avatar.
JE NE SOUHAITE PAS DE parrainage individuel par les parrains et marraines après ma validation.