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 Anyway the wind blows [Les Conquérants]

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MessageSujet: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyVen 24 Avr - 16:26


24/04

Quand je pense qu'un groupe de deux personnes s'est tuées dans des escaliers... Je sais même pas comment réagir, si je dois rigoler ou pleurer. Je pensais que ma vie ici serait ennuyante. Mais pas du tout ! Vous savez pourquoi ? Simplement parce que chacun y met du sien pour détruire l'endroit où nous sommes, tout en nous punissant à cause des erreurs que EUX font. Plutôt ironique comme situation.

J'avais été enfermé pendant 3 jours avec un mec s'appelant « Doc ». D'ailleurs ça m'a permis de confirmer le fait que l'on pouvait retrouver ses souvenirs au fur et à mesure. J'ai vaguement discuté sur un événement passé avant mon arrivé. Je voulais savoir si il y avait eu des choses avant que je sois là, pour mener ma propre enquête si on peut dire ça comme ça.
Du coup, deux personnes avaient décidés de casser le mur de l’infirmerie pour peut être découvrir une autre pièce. Pas de bol.

Enfin bon, je voulais en savoir plus. Peut être pas forcément pour découvrir quelque chose mais juste comprendre ce qu'il s'est passé par moi même. Je suis donc à l'infirmerie, sa porte a un trou en son centre. Sans doute qu'elle a dû être verrouillée à un moment donné et que ça posait problème ? Il n'y avait plus grand chose à l'intérieur, enfin qui nous ferait dire que c'est une infirmerie. Il y a deux armoires vides, deux chaises et un matelas sur un mur. Pourquoi ce matelas ?

Je m'avance vers celui ci. Il a l'air collé au mur, comme ci une force l’obligeait à rester au mur. Je crois que ma curiosité me jouera des tours si je continu. J'essaie de le décoller, mais quelque chose aspire l'air et le remet directement en place. Il y avait en effet un grand trou, dans lequel il n'y avait rien. Comme un trou noir. C'est quoi un trou noir ? Anyway. Je décide de ne plus y toucher, parce qu'on ne sait jamais je pourrais me faire aspirer avec le talent que j'ai.

Je m'assois sur une des chaises pour réfléchir. C'est bizarre que tout soit nettoyé mais que personne ici ne l'ait fait. Ça confirme le fait que nous ne sommes pas seul ici, que quelqu'un gère cet endroit. Quelle est donc notre fonction ? Bonne question. Il faudrait que je me renseigne un peu plus sur ce qu'il s'est passé ici il a des détails qui m'échappent j'ai l'impression. Mais vers qui puis je me tourner ?
Anyway the wind blows
» Sherlock (www.)


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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyVen 24 Avr - 17:59



Anyway the wind blows.

✣ NB04-963, Sixteen, Rouky & F03-012 ✣

________________________________________________

J'inspirais à grandes bouffées. Non pas que l'air soit particulièrement vivifiant au sein de la Ruche, mais c'était tout de même un soulagement de pouvoir profiter d'un peu d'espace et de pouvoir maintenir une distance sociale un peu plus étendue avec les autres abeilles. Car après ces trois jours de confinement forcé, avec Sixteen et surtout Rouky comme partenaires, je défiais quiconque de ne pas aspirer à un peu de solitude. Pour tenter de comprendre l'épreuve que je venais de subir, essayez d'imaginer quelle serait votre vie si on vous avait brusquement changé en aimant vivant. Tenez, prenons Rouky par exemple :  j'avais beau le repousser avec délicatesse et douceur dans l'espoir d'obtenir un semblant de paix, le voilà qui devenait de plus belle dès lors que j'avais le dos tourné.  Oh bien-sûr, l'un comme l'autre avaient été très attentionnés envers moi, mais cohabiter dans un environnement si restreint restait tout de même légèrement intrusif et envahissant.
Pendant ce temps, je n'avais cessé de songer à l'anecdote que m'avait raconté Doc au sujet de son expérience dans le cube. Celle-ci semblait similaire à plusieurs points de vue. Mis à la part le fait qu'elle semblait avoir été instaurée suite à la découverte des deux cadavres en bas de l'escalier. Une sorte de...représailles ? D'avertissement ? Et pour nous prévenir de quoi au juste, de ne plus emprunter les escaliers ? Si c'était le cas, alors j'ai bien peur que nous ne sommes plus aptes à faire quoique ce soit. Car j'en connais ici qui seraient bien capables de se couper avec une feuille de papier ou de s'étouffer avec un grain de riz. Ils ne peuvent en aucun cas, nous empêcher de vivre. Les humains ne sont ni en sucre, ni en verre, il faudra bien qu'ils s'y fassent si leur but est bel et bien de nous garder comme spécimens.

Malgré toute cette effervescence, j'étais tout de même descendue sans emprunter l'ascenseur. J'avais tout de même veillé à ne rien toucher, même si tout avait évidemment été nettoyé de fond en comble par je-ne-sais quelle opération du Saint-Esprit. Question de principes. Je ne suis pas de ceux qui mettent leurs mains n'importe où, moi. Ou leurs pieds, d'ailleurs : cela m'évitait en tout cas, d'éventuelles dégringolades entre deux étages...si vous voyez ce que je veux dire.  
Durant mon emprisonnement...je veux dire, ma quarantaine, Sixteen et Rouky m'avaient beaucoup parlé de ce qu'il s'était réellement passé lors de la destruction de l'infirmerie. Car bien que présente sur le tard, je n'avais pas été en mesure d'observer la totalité des faits. Et les quelques preuves qui auraient pu subsister avaient miraculeusement disparues le lendemain. Comme c'était pratique. J'avais été quelque peu touchée de savoir que Rouky avait eu à subir une semaine entière de sévices et qu'il s'était fait happer par la faille béante dans le mur. Je ne souhaitais à personne de vivre ces choses-là, quand bien même ladite personne aurait eu l'idée de faucher le bâtiment. Ce qui restait à bien des égards...résolument pas l'idée du siècle. Soit.

J'étais maintenant arrivée sur les lieux du crime, si on pouvait appeler les choses de cette façon. Tout était resté à sa place, depuis la dernière fois. Tout sauf une chaise plantée au beau milieu du désastre et sur laquelle était assis une jeune personne, visiblement en pleine contemplation silencieuse. Je m'approchais en silence et dit dans son dos :❝Je suis d'accord avec vous. N'a-t-on jamais vu un matelas aussi beau que celui-là ?❞  Les bras croisés, je me plaçais finalement à ses côtés et observait la scène à mon tour. ❝A une époque, c'était le mien vous savez... et croyez-moi, j'étais bien loin de me douter que j'aurai à le recycler ainsi.❞  déclarais-je avec un hochement de tête.

Des bruits de pas pressés se firent entendre et je me retournais à-demi pour voir mes deux comparses de confinement venir à notre rencontre.❝Je n'aurai jamais pensé pouvoir vous manquer à ce point. Et si vite. Bonjour à vous deux.❞ fis-je avec ironie, non sans accrocher un léger sourire pour adoucir ma remarque. Souvenez-vous de ce que je disais plus tôt, au sujet des aimants...

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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyVen 24 Avr - 21:52

- the fellowship
@F03-012 @NB04-963 & @Rouky
Trois jours de confinement et en sortant de ce logement de l'enfer, absolument rien n'avait changé. Aucune nouveauté, pas un seul meuble de déplacé, rien du tout. Le calme plat entre ses mêmes murs immaculés. Pourquoi les enfermer alors? Qu'est-ce que ça voulait dire? Une sorte de punition, peut-être. Elle croyait que c'était pour effectuer des rénovations ou quelque chose comme ça qui demandait à ne pas être dérangé par eux. Autant dire que c'était décourageant de constater qu'elle avait enduré cet enfermement pour rien du tout. Sixteen ne savait pas quoi en penser, mais elle n'était pas mécontente de retrouver un peu de solitude en sortant de là. Elle avait l'habitude d'être en groupe pourtant, mais il ne lui restait plus une seule goutte de patience dans son vase. Se retrouver seule l'aiderait grandement à retrouver un semblant de calme intérieur et à décompresser. Elle évita donc tout contact avec les autres, jusqu'à se sentir moins agressive et plus détendue. Même si la page était tournée au sujet de ce confinement forcé, ça ne l'empêchait pas de revenir sur les nombreuses questions qui hantaient son esprit. Posée sur un canapé, près de l'escalier, elle repensa à cet accident dont elle n'avait heureusement pas été témoin physiquement. Deux personnes, un homme et une vieille femme étaient tout deux décédés des suites d'une violente chute. Les créateurs n'avaient cependant pas cru bon de modifier l'escalier ou d'y ajouter de sécurité supplémentaire. Voilà qui en disait long sur leur intention. Puis il y avait ensuite cette histoire de robot, sortie de l’ascenseur pour récupérer les corps. De où est-ce qu'ils venaient? D'une trappe secrète dans la cabine? D'un tout autre étage auquel ils n'avaient pas accès? La brunette soupira, avant de tourner la tête en direction de l'aire de vie commune, cherchant naturellement un visage ou une silhouette connue. Elle s'attarda quelques instants sur la démarche gracieuse de 012, avec qui elle avait justement été confinée trois jours. Voyant qu'elle entrait dans l'infirmerie détruite, elle fronça les sourcils. Bizarre, pourquoi est-ce qu'elle retournait sur les lieux de l'incident? Et puis merde, elle méritait bien d'avoir un peu la paix, non?

Sixteen se leva, avant de faire quelques pas dans cette direction, tout de même trop curieuse pour ne pas tenter d'en savoir plus. Elle n'était pas retournée là dedans depuis que l'homme en noir lui avait embroché le pied avec un scalpel avant de tout détruire sur son passage. Croisant son rouquin préféré sur son chemin, elle lui poussa légèrement le dos pour attirer son attention. « Hey Rouky, j'crois que quelqu'un veut peut-être récupérer son matelas...» Rapidement, elle pointa l'infirmerie avant de lui faire signe de la suivre. Elle savait qu'il comprendrait le message. Un peu inquiète qu'on s'approche de ce trou maudit, la brunette pressa le pas, jusqu'à débarquer à l'intérieur. Un peu surprise, elle s'arrêta en voyant que 012 discutait déjà avec... quelqu'un. « Oh, bonjour...» Toujours aussi polie cette grande dame. Elle étira un petit sourire gêné, étant donné que son commentaire laissait envisager qu'elle n'était pas si pressée de les revoir non. Elle comprenait parfaitement pourquoi d'ailleurs. Redressant un peu les épaules, elle se reprit. « Pardon, je voulais juste être certaine que personne ne touche à ce matelas...» Son regard suspicieux se posa principalement sur la silhouette élancée de l'inconnu à la longueur de cheveux exagérément longue. Comment faisait-il pour entretenir une chevelure pareille? Ce devait être lourd, non? Son petit doigt lui disait qu'il était beaucoup trop curieux, à fixer l'entrée du trou de cette manière-là. Est-ce qu'il savait que c'était dangereux? La dernière chose qu'elle souhaitait, c'était de faire une victime de plus dans cette histoire. La brunette s'approcha donc doucement de lui, jusqu'à être à sa hauteur. Elle l'observa quelques secondes, avant de lui adresser la parole d'un ton calme. « Si tu veux savoir ce qu'il y a de l'autre côté, je peux sûrement t'aider... Moi c'est Sixteen, celle qui a fait le trou et voici Rouky, celui qui est tombé dedans » Elle étira un petit sourire en coin, posant les mains contre ses hanches. C'était une drôle de présentation, mais ça briserait sûrement la glace entre eux. Du moins, elle l'espérait.
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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptySam 25 Avr - 16:34

-Anyway the wind blows.
@NB04-963 & @F03-012 & @Sixteen
On sait que sa vie a un atteint un seuil très bas quand l'ouverture d'un confinement de trois jours apporte le même hype qu'un matin de noël pour un enfant de 5 ans. C'est l'impression qu'avait eu Rouky quand la porte du logement l'a finalement libéré de sa cage. Non pas que ça avait été particulièrement pénible, il était quand même enfermé avec la plus belle femme de la ruche; 012 (désolé Sixteen). Cette bourgeoise avec un air monarchique qui lui donne l'impression de sortir d'un monde complètement différent, ce qui n'est sans doute pas très loin de la réalité. Il suffit pour le comprendre de noter la différence drastique dans leur façon de s'exprimer -et de vivre en général-. Puis, il était aussi enfermé avec Sixteen, elle, la militaire, qui n'était pas très contente qu'il ait dégueulé sur son métier quelques jours auparavant, mais elle s'en est fait une raison de toute façon. On finit par s'y faire, à Rouky qui dit exactement toujours ce que personne n'a envie d'entendre. Puis, malgré qu'ils semblent incapable de ne jamais finir par se bouffer l'oxygène, le rouquin et la brunette commencent à être habitué à être en compagnie l'un de l'autre, ça aide. Tout pour dire, ce trois jours a été un véritable enfer pour l'hyperactif en lui, mais loin d'être comparable avec les prisons de la ruche. Il n'a cependant pas rechigné sur les quelques jours de solitude bien mérités qu'il s'est autorisé ensuite. Une solitude qu'il n'a néanmoins pas l'intention de maintenir plus longtemps, il en a assez eu durant les dernières semaines, son quota de pourrissage existentiel des autres a prit du retard. Son seul regret? Ne pas avoir été témoin de la chute des deux abeilles qui se sont tués dans les escaliers. Non pas qu'il se délecte d'une telle tragédie, mais il ne peut s'empêcher de penser que ça devait quand même être vachement drôle. Enfin...avant que ça ne le soit plus. Juste avant qu'ils meurent quoi. Est-ce que c'est mal de penser ainsi? Probablement. Sauf que ce n'est pas de sa faute si la ruche réduit leur possibilité de nouveauté et d'aventure au point où regarder des gens se tuer dans l'escalier devient plus attrayant qu'un matin de noël aussi. C'est rarement de sa faute à lui de toute façon, il fait bon dans le monde de Rouky, on y est bien.

Pour l'instant, il se cherche une occupation, alors quand il croise Sixteen et qu'elle lui mentionne que quelqu'un semble vouloir récupérer le matelas dans l'infirmerie, il se dit qu'il peut bien aller y jeter un œil. Parce qu'il n'est pas retourné sur les lieux du crime depuis, mais aussi par qu'il n'a rien de mieux à faire. Un petite pointe de curiosité, accompagnant sans doute le tout. Une bonne décision qu'il en conclu quand il entre finalement dans l'infirmerie et qu'il y voit 012 et sa prestance habituelle. Il sourit aussitôt, alors qu'elle les salua, ne s'offusquant pas du manque d'enthousiasme. « Hey, on se retrouve déjà, c'est trop cool. » Il jette un coup d’œil vers le matelas, puis regarde à nouveau 012. « C'doit être le destin. » Et c'est là qu'il remarque la présence supplémentaire, ce type avec les cheveux les plus longs qu'il ait vu de sa vie, du moins avec les souvenirs qu'il en a. Rouky se fige quelques instants, le dévisageant sans plus de savoir-vivre pendant que Sixteen fait les présentations. Il plisse les yeux, suspect, étudiant toujours cet inconnu du regard. « T'as l'air d'un elfe, est-ce que ce sont des vrais cheveux? » Il en doute. Ceci dit, il tourne finalement la tête pour lancer un regard un peu outré à Sixteen. « Et je suis pas tombé dans le trou, j'ai sauté dedans. C'est pas la même chose. » Il roule les yeux, reporte son attention sur 012 et sourit de nouveau. « C'est trop parfait qu'on est tous ensemble à nouveau là, avec...» Il regarde l'elfe faute de savoir encore son identifiant. «...notre nouveau pote. On fait quoi alors? On va faire quelque chose, non? » Ils sont quand même pas tous là uniquement pour apprécier l'absence de décoration dans l'infirmerie. Il a besoin de s'occuper lui, sinon il risque encore de faire des bêtises.
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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyDim 26 Avr - 18:10

Infirmerie
Les Conquérants
Anyway the wind Blows

Il est vrai que j'avais eu de la chance d'avoir eu un camarade de confinement plutôt sympas. On ne forçait absolument pas la discussion, mais il est vrai que trois jours, c'est long. TROP long. J'aimais bien faire mon petit sport avec les machines, et pendant ces trois jours, trouver de l'occupation était compliqué. Mais c'est finis ! Enfin ! Ma curiosité me tueras un jour. C'est pour ça, qu'au lieu d'aller faire du sport, je m'étais trouvé là, à regarder un matelas collé au mur. J'avais vaguement entendu des pas se diriger vers moi, allant dans mon dos. Je m'étais retourné et une belle femme se tenait derrière moi, digne d'un mannequin.  Mannequin ? D'accord... Je continues de sortir des mots dont je ne connais pas la signification. Peut être faudrait il que je passe à la bibliothèque ?

Je la regardais de haut en bas, sans aucuns mépris, et me retournes pour regarder le matelas. C'était donc le sien. Heureusement qu'elle ne dort plus dans sa chambre alors.

Je n'avais au début pas remarquer la présence des deux autres personnes avec nous, se composant d'une jeune femme et d'un jeune homme. Ces trois personnes semblent se connaître. Avec ce que vient de dire la mannequin, on pourrait en conclure qu'ils ont passés le confinement ensemble.  

Je lève la main et leur fais un signe, le sourire au lèvre.

« Bonjour »

Le jeune homme finis par me dire que je ressemble à un elfe. Je rigole légèrement mal à l'aise. C'est la première fois qu'on me dit ça, tiens. Surtout que je ne sais pas vraiment à quoi ressemble un elfe. Sûrement à moi, j'imagine ? Je me renseignerais. Il faudrait que je prenne un carnet de note avec moi pour écrire les mots que je ne connais pas afin de les vérifier à la bibliothèque. Par contre je n'ai pas vu de perruques depuis que je suis ici. Donc je comprends pas vraiment pour le jeune homme me pose la question.

« Je ne pense malheureusement pas être un elfe non, mais se sont effectivement mes cheveux. »

Tu les regardes se disputer. Donc l'une avait cassée le mur, laissant un trou géant dans le mur et l'autre y avait sauté. Encore une fois, je ne sais pas trop si je dois pleurer ou rire de la situation, puisqu'ils auraient pu mourir tout les deux. J'ai vraiment été inconscient de déplacer le matelas, même si rien n'avait bougé.

« J'ai regardé par moi même ce qu'il y avait, c'est à dire rien. Mais j'ai remis le matelas en place, enfin il s'est remis en place seul avec la force d'aspiration du trou plutôt... »

Je me tourne vers le jeune homme. Comment a t il réussis à revenir à l’intérieur de la ruche ? Doc m'avait dit qu'il y avait eu une blessé, qui devait être la jeune fille je suppose.

« Mon matricule est NB04-963. Et vous ? »

Je leur fit un sourire. Il faut bien faire connaissance un jour, je pense que j'aurais à les revoirs, surtout ces deux là.

« J'ai plusieurs questions. Comment as tu réussis à revenir ici si tu es tombé dans le trou ? Il m'a l'air sans fin... Et puis pourquoi y a t il un trou énorme dans la porte ? Vous l'avez verrouillé ? »

Déjà faire un trou dans un mur, sans se garantir qu'il y a quelque chose derrière, ce n'est pas super fin. Mais je ne pense pas qu'ils étaient aussi bête pour verrouiller la porte de leur propre grès. Je suis presque certain qu'il y avait quelqu'un d'autre avec eux. Peut être la voix que j'entends chaque matin peut contrôler les serrures comme elle le fait pour le couvre feux ? Je ne sais pas. Il y a beaucoup de possibilités.

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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptySam 2 Mai - 3:15



Anyway the wind blows.

✣ NB04-963, Sixteen, Rouky & F03-012 ✣

________________________________________________

Le menton levé, je posais d'abord mon regard sur Sixteen, qui semblait passablement gênée sans que j'en comprenne la raison, puis sur Rouky en murmurant pour moi-même : ❝Le destin...mais bien-sûr, c'est cela oui.❞ Qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre ! Je n'étais absolument pas disposée à encourager cette théorie : au contraire, j'avais plutôt l'impression depuis quelques jours, d'avoir acquis en la personne de Rouky, comme une seconde ombre. Ajoutée à celle que je possédais déjà et qui passait de longs moment sur mes pas, à la manière d'un petit chien docile. J'imagine que ça lui passera, ou du moins : je l'espérais. J'avais gardé les bras croisés et je demeurais parfaitement immobile, n'esquissant qu'un regard calculateur vers l'endroit du sinistre. ❝Croyez-moi Sixteen, personne de sensé ne songerait à ne serait-ce qu'effleurer ce matelas. Pas après avoir vu ce que cela pourrait provoquer.❞ fis-je en reportant mon attention sur elle. Il faudrait être assez sot pour s'y risquer pensais-je, alors que précisément à cet instant, l'inconnu qui était assis avouait l'avoir fait par pure curiosité. Dommage. Je ne me formalisais cependant pas de l'impair que je venais de formuler à voix haute. Après tout, je n'y étais pour rien si on ne lui avait pas appris à regarder avec les yeux, mais simplement avec les mains.

Scandalisée par ce manque de savoir vivre, je levais les yeux au ciel lorsque Rouky apostropha le nouveau en le qualifiant d'elfe. Quoiqu'il fasse, quoiqu'il dise, la surprise et/ou la consternation étaient toujours de rigueur lorsqu'il ouvrait la bouche. Et si en tout premier lieu, j'avais accusé l'alcool comme principal motif à son comportement, force était de constater que c'était bel et bien son attitude habituelle. Si les cheveux étaient évidemment vrais, je compris alors ce que signifiait les mots "intelligence artificielle" lorsque mon regard se posa sur les traits suspicieux du rouquin. Je secouais la tête sans faire de commentaires. Du moins, je n'en fis pas dans l'immédiat. Mais chassez le naturel et il revient au galop : ❝Que vous soyez tombé ou que vous ayez simplement sauté dedans à pieds-joints, avouez que ce n'était de toute façon, pas très brillant comme idée.❞ dis-je un peu sèchement. Puis, je décroisais enfin les bras et tendis ma main à celui qui était immatriculé 963 : ❝Enchantée, je suis F03-012❞. Je la lui serrais brièvement en guise de salut.
Puis, d'un geste assuré et élégant je me saisis d'un siège -quasiment similaire à celui de 963- et m'y assis en croisant les jambes. ❝Peut-être que Sixteen et Rouky pourraient commencer par nous raconter comment tout ceci est arrivé et quelle est leur version des faits ? Je ne doute pas qu'ils sauront éclaircir les questions que nous nous posons tous.❞ Je désignais le petit canapé situé juste derrière eux d'un geste du bras afin qu'ils y prennent place pour entamer leur récit. Comme toujours, j'avais cette manie de faire comme si chaque chose m'appartenait et que j'étais l'hôte de ces lieux. Les mains jointes devant moi, je m'apprêtais à ré-entendre cette histoire passionnante qui avait provoqué une véritable tempête orageuse dans cet endroit. Pour cela, il leur faudrait revenir au commencement, et rembobiner les détails à la manière d'une brève cassette de souvenirs pour que cela puisse faire sens pour nous. Peut-être que cet épisode pourra alors être tiré au clair...

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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyDim 3 Mai - 15:45

- the fellowship
@F03-012 @NB04-963 & @Rouky
Les sages paroles de 012 la rassurèrent, alors qu'elle reportait naturellement son attention sur l'inconnu qui observait ce fameux matelas. En effet, elle préférait croire que personne de sensé ne toucherait à ce bouchon de fortune, mais l'était-il? Parce qu'elle ne le connaissait pas vraiment et rien ne lui garantissait que ce type n'était pas barjo. « J'imagine » Simple réponse, parce qu'elle fronça rapidement les sourcils lorsque Rouky questionna l'inconnu d'une manière peu subtile. Bien qu'habituée à son attitude qui laissait parfois à désirer, elle s’inquiétait plutôt du fait qu'il offense l'inconnu aux longs cheveux. Apparemment, celui-ci se contenta de répondre gentiment comme si de rien n'était. Tant mieux. Elle l'écouta se présenter, avant d'afficher un petit sourire poli. NB? Elle ne comprenait toujours pas ce que ses deux lettres voulaient réellement signifier. Ce serait donc 963, pour s'éviter des longueurs inutiles et parce que le traiter d'elfe lui paraissait légèrement ridicule. Et puis, un elfe, ce n'était pas supposé être comme un genre de créature qui n'était pas humain? Elle n'avait pas mémoire d'une définition précise, mais à coup sur, Rouky avait trop regardé la télévision étant gamin. « Enchantée 963 » Sixteen s'était déjà présentée, elle laissa donc 012 enchaîner. Un petit sourire en coin étira ses lèvres en notant le découragement visible de celle qu'elle aimait surnommer la grande Dame. «... c'est que Rouky et les idées brillantes...» Ça fait deux. Amusée par son commentaire, elle jeta un coup d'œil au rouquin, lui adressant un léger haussement des épaules comme pour lui rappeler que cette pique avait tout de même un fond de vérité. Ce n'était pas un reproche, pas totalement. Lorsque 012 proposa soudainement qu'elle entame un récit des événements, la brunette lâcha un petit soupire. Ah non. Pas encore. Ça faisait trop de fois déjà qu'elle racontait ce qui s'était passée dans l'infirmerie et elle ne tenait pas à le faire une fois de plus. Non pas par paresse, mais parce qu'elle avait passé à autre chose dans sa tête. Ce dossier était clos et elle n'aimait pas trop y revenir constamment. « Rouky va raconter lui » Parce qu'il semblait aimer les histoires et que son nouveau pote l'elfe avait des questions au sujet du trou qu'elle ne pouvait pas répondre de toute manière.

« Et la morale de cette histoire, c'est de ne pas trouer un mur, de ne pas énerver un créateur et de ne pas chercher à sortir d'ici » Sixteen roula les yeux, consciente que son ton quelques peu sarcastique voulait surtout dire que cette moral n'était pas à suivre à la lettre, sans quoi, ils leur restaient juste l'option d'être de beaux petits moutons dociles. Suivre les règlements, ne pas se questionner, ne pas agir, ne pas quitter le troupeau. Elle en avait marre de camoufler son exaspération par rapport à tout ça. Oui, elle reconnaissait son erreur avec l'épisode de l'infirmerie, mais non, elle ne comptait pas abandonner ses projets. D'ailleurs, Rouky avait laissé sous-entendre quelques minutes plus tôt, qu'ils pourraient faire quelque chose, maintenant qu'ils étaient réunis. Pourquoi pas. Elle croisa les bras contre sa poitrine, toujours debout, avant d'enchaîner tout doucement. « Deux personnes sont mortes récemment, on nous enferme trois jours pour absolument rien et des... robots sont apparu de l’ascenseur. N'y aurait-il pas une piste à suivre là-dedans? » Une piste plus intéressante qu'une infirmerie en ruine. Ils avaient été en pause pendant 72 h, un temps suffisamment longs pour que quelque chose change dans la ruche et pourtant, rien n'avait bougé. Pourquoi les enfermer, donc? Pour le plaisir de les observer n'être que des chiens en cages? Bref. Sans parler des deux morts et de ses espèces de robots récupérateurs de cadavre. Peut-être que 963 avait sa propre théorie sur le sujet, en tant que regard neuf sur ce mystère. Elle aimerait bien entendre ses idées, pourquoi pas. D'ailleurs, elle lui jeta un coup d’œil, voyant qu'il semblait réfléchir. « Une idée? » Simple question pour attirer son attention. De plus, elle l'invitait indirectement à prendre la parole s'il en avait envie. Pour sa part, Sixteen avait déjà discuté de ce confinement bizarre avec le rouquin et la grande Dame, mais personne n'avait réellement compris le but de cet exercice. Est-ce que mourir était interdit dans la ruche et ça avait créée une sorte de dysfonctionnement du système? Pourtant, le règlement de non-violence avait tout à coup changé juste un peu avant. C'était contradictoire tout ça. Vouloir leur bien et leur santé, mais les laisser se battre s'ils le voulaient. Hum.
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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyMar 5 Mai - 23:38

-Anyway the wind blows.
@NB04-963 & @F03-012 & @Sixteen
Si la belle bourgeoise ne semble pas partager son avis sur leur destin, Rouky ne s'en démonte pas pour autant. Ça lui prendra beaucoup plus qu'un rejet pour qu'il accepte la réalité. Ou tout simplement; il s'en fiche bien. Quand il a une idée dans la tête, il fait à sa tête, point. Qu'importe de toute façon, la dame s'adresse ensuite à Sixteen au sujet du matelas et l'attention de notre Rouky est déjà déviée sur le quatrième membre de leur petit groupe, celui qu'il ne connait pas, celui qu'il qualifie sans gêne "d'elfe". Non pas qu'il le fait dans le but de l'insulter ou d'être désagréable, c'est étrangement simplement la première chose qui lui vient en tête quand il regarde cet être aux longs cheveux. Et si ce dernier confirme bien être le propriétaire naturel de cette tignasse, il décline néanmoins être elfique, ou du moins, il affirme douter l'être. Naturellement, Rouky fronce légèrement les sourcils, le dévisageant de plus bel quand il se présente sous le matricule NB04-963. Pas un elfe? Pfeuh. Ce n'est pas à lui qu'on va essayer de faire croire que ce garçon aux allures un peu trop svelte et délicate n'est qu'un simple humain comme tous les autres. Déjà parce qu'aucun humain digne de ce nom ne supporterait d'entretenir des cheveux comme ça. Non? Enfin, il n'en sait trop rien, mais il décide de ne pas faire de vague, insister sur le sujet risque de froisser quelqu'un et Rouky n'a pas manqué de remarquer l'air scandalisé de 012. Nul besoin de baisser encore d'avantage dans son estime, alors qu'il planifie au contraire d'y remonter. Si remettre l'humanité des gens en question est quelque chose d'impoli à faire, il peut bien se retenir de le faire. Ou du moins, essayer.

De toute façon, le sujet est déjà dépassé, les présentations sont faites et 012 propose qu'avec Sixteen, ils répondent aux questions de l'elfe au sujet de la catastrophe de l'infirmerie. Rouky n'a pas l'intention de le faire, mais la brunette le devance, dictant que la tâche d'expliquer tout ça lui revienne à lui. Le rouquin prend d'ailleurs deux secondes pour la toiser bêtement avant de raccrocher son sourire. Si on veut qu'il parle, il parlera. Il se racle donc légèrement la gorge avant de se lancer dans ses "explications". « Bon alors déjà, le plan c'était pas de péter l'infirmerie hein, on voulait juste vérifier si y'avait des pièces cachées. » Il pointe le matelas et donc le trou d'un geste. « La réponse est; non. C'est là que ça nous a chié dans les bottes vous voyez...» Il lance un regard à 012, n'ayant pas oublié sa remarque sur l'intelligence dont il avait preuve, ou plutôt, le manque d'intelligence en rapport avec le trou. « Le trou a commencé à tout aspirer et le nazgul est arrivé et au lieu de juste nous arrêter ou nous tuer; il a continué de tout casser. Pas trop compris pourquoi, mais j'ai déjà eu affaire à une créature du genre quand j'ai brisé mon bracelet et j'avais pas envie de recommencer, alors j'ai sauté dans le trou pour fuir. » Ouais bon ok, c'était pas brillant, c'est vrai, mais pas totalement débile non plus. La preuve; il est vivant pour le raconter. « Y'a rien du tout dans le trou, y'a même pas de fond. J'ai juste tombé pendant une éternité et...je me suis réveillé dans ma chambre, c'est tout ce que je sais. » Le secret derrière tout ça, il l'ignore malheureusement. « Pour le trou dans la porte, j'sais pas. C'est le nazgul peut-être ou...nos sauveteurs. J'étais déjà sauté, alors...» Il n'a pas le temps d'ajouter autre chose que Sixteen s'empresse d'y ajouter une morale et ce n'est pas plus mal. Après quoi, la question est plutôt de savoir quoi faire de tout ça maintenant? Y a-t-il encore quelque chose à découvrir dans cette infirmerie? Il en doute un peu, puisque tout semble avoir été bêtement nettoyé. Sans surprise, les créateurs ne semblant pas tenir à leur laisser la moindre de chance. Sixteen amène plutôt le sujet des morts et des robots et c'est déjà une piste plus intéressante selon lui. « C'est trop con que j'ai rien vu, j'aurais trop voulu voir les deux guignols se casser la gueule dans les escaliers, en plus, y parait que y'avait une vieille grand-mère. » Il sourit à l'idée, sans trop savoir s'il y a matière à sourire, mais avec Rouky, nul besoin de chercher une justification logique derrière ses réflexions. « Les robots c'est une première par contre...je sais pas pourquoi ils ont pas juste envoyé Aleksa pour les récupérer, c'est bizarre nan? La téléportation ça fonctionne pas avec les morts? » Encore plus de questions, toujours plus de questions. « Mais si y'a des robots qui se baladent dans l’ascenseur, ça veut dire que y'a un autre étage...Si on avait su, c'est peut-être dans le plancher qu'on aurait essayé de faire un trou...» Il hausse vaguement les épaules, pas convaincu pour autant par cette idée.
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MessageSujet: Re: Anyway the wind blows [Les Conquérants]   Anyway the wind blows [Les Conquérants] EmptyVen 8 Mai - 19:14

Infirmerie
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Me voilà donc en compagnie de Sixteen, Rouky et 012. Ils avaient l'air de très bien se connaître. Je pense qu'ils sont ici depuis pas mal de temps. J'avais été légèrement déstabilisé quand 012, s'adressant à Sixteen, qu'il fallait être sans cervelle (en gros) pour toucher à ce matelas. Malheureusement pour moi, je l'avais bien bougé. Ce qui est fait est fait, par contre (et heureusement pour moi) je n'avais pas provoqué de catastrophe. Je regarde ce beau monde et les écoutes attentivement.

J'avais fais un rêve très étrange, où deux personnes avaient commencé à m'appeler Luminary. Ils parlaient anglais, et étonnement, je comprenais très bien ce qu'ils disaient. Je n'arrive pas à me souvenir de leurs visage, mais je sais qu'ils avaient un air bienveillant à mon égard. Je pense qu'il serait plus adéquat de me nommer comme ça, pour l'instant, le temps que je retrouve mon vrai nom.

« Appelez moi Luminary, ce sera plus simple pour nous tous, je pense. Enchanté de tous vous connaître » dis je, un sourire offrant une magnifique vue sur des dents du bonheur.

Je pris mes cheveux, et les attacha pour plus de mobilité. Parce qu'avoir de si longs cheveux, c'est vraiment contraignant. Si il ne faut pas essayer de sortir d'ici, de ne rien toucher et de n'énerver personne, je pense que dans ce cas, qu'on n'avancera à rien. Il me semble évident que ce qu'ils ont fait, c'est uniquement pour faire avancer la ruche, non pour la détruire. Nazgul ? Est ce une personne, une entité ? Je devrais sûrement leur demandé qui ou qu'est ce que ce Nazgul est ?

« Qui est ce Nazgul ? A quoi ressemble t il pour que tu en ais si peur ? »


Si ce Nazgul nous observe, et tiens cet endroit, je ne comprends pas ses motivations à détruire encore plus cet endroit. Une punition encore une fois, j'imagine ? Puisqu'on essaie d'avancer sans forcément penser à tout démolir, mais qu'on le fait quand même sans l'autorisation de personne, il se venge et nous prive de soins. Ce qui veut dire que ça nous met encore plus dans le pétrin, avec la règle entre 16h et 22h, on pourrait vite mourir d'une blessure infectée non soignée, même si nous avons Doc, je doute qu'il puisse tout soigner sans rien à disposition. Si il a une trousse de secours, enfin dans l'hypothèse où il en a effectivement une, il ne faut pas en abuser.

Pourquoi avoir sauvé Rouky ? Ca aussi c'est une question sans réponses. Je pense que quelqu'un ou un groupe de personne nous « dirige », je vais les appeler les Supérieurs. Si les Supérieurs ont sauvés Rouky, sûrement est ce parce que leur but n'est pas de nous tuer. Par contre, on ne nous donne pas plus d'indices que ça pour avancer. On pourrait aussi supposer que du coup, il n'existe pas d'extérieur. Ou, que si, mais nous n'avons pas cassé le mur du bon côté. Il y a beaucoup trop de questions sans réponses.

Je soupire et réfléchis. Plutôt que de détruire, pourquoi ne cherchons nous pas un mécanisme par exemple ? Je pense que justement, l’ascenseur peut nous donner des indices. Si il descend, effectivement, ce sera plus simple pour avancer. Par contre si il monte... Je ne pense pas que nous puissions faire grand chose, il serait étonnant de trouver quelque chose pour atteindre le plafond. Trouer le sol à nos pieds semble être une solution satisfaisante. Je pense cependant que pour pouvoir le percer, il va nous falloir plusieurs jours, avec des outils. Il n'a pas l'air d'être facile à transpercer, puisque nous sommes déjà beaucoup ici. Il doit donc être énorme, sinon je ne vois pas comment il pourrait supporter un poids pareil. Je me perds dans mes pensées, et malgré moi sors un rire gêné lorsque j'entends la remarque de Rouky. C'est... malsain ? En plus il sourit. Je me demande si c'est vraiment une bonne idée de rester ici avec eux, surtout si ils ont tous cet état d'esprit. Je ne trouve pas l'intérêt à rire d'une vieille dame qui s'est tuée dans les escaliers. Au contraire, si elle avait retrouvé ses souvenirs, on aurait pu en savoir plus sur ce qu'il s'est passé dans ce que j'appelle « l'avant ».

« Je pense pas qu'il faut dire directement qu'il faut chercher dans le plancher. On ne peut pas savoir si il monte ou descend, cet ascenseur. Il faut y réfléchir, et sinon trouver une solution. Il faudrait peut être chercher à faire revenir ces robots, pas en tuant des gens bien sûr, mais peut être que pendant qu'ils vont chercher les corps, un truc je ne sais pas quoi, quelqu'un jette un coup d’œil pour voir combien il y a d'étage, des boutons, peut être même si on est assez rapide essayer d'y entrer et de monter ou descendre en appuyant sur les boutons. »

Mais bon, encore faudrait il savoir comment les faire revenir, ces robots. C'est une piste à voir, mais la réaliser va vraiment être compliquer. Ou alors il faudra attendre que des gens meurent, même si cette solution ne m'enchante guère.

« Ce n'est qu'une hypothèse, mais il me semble qu'Aleksa n'est pas matériel, elle n'a pas de corps si vous préférez. Il s'agit sûrement d'une Intelligence Artificielle qui contrôle ce qu'on lui permet de contrôler. Soit elle est un logiciel programmée préalablement, soit quelqu'un la contrôle à distance. »


Mais si quelqu'un peut la contrôler, ça va sûrement être compliquer, cette personne ne sera sûrement pas seule. C'est même certain j'ai envie de dire.

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