Nous avons pris la très difficile décision de fermer le forum en date du 18 octobre 2020. Merci à tous pour ces beaux moments passés en votre compagnie. On vous aime tout plein! <3
Langues : Anglais parlé et écrit ; langage des signes britannique et américain et plusieurs bases d'autres langues
Métier : Architecte
Logement : Section 2-F ; des livres qui trainent partout et des plans de la Ruche sont scotchés au mur, dont quelques versions de ce que pourrait être l'extérieur
Sujet: Sésame, ouvre-toi | Libre Mer 16 Sep - 1:40
Sésame, ouvre-toi 15 septembre 2020
Pour une rare fois, Fred ne s'est pas réveillée lorsque la lumière s'est allumée d'un seul coup, ses yeux ont bien cligné, mais sans plus. Puisqu'elle ne porte pas ses appareils auditif lorsqu'elle dort ou qu'elle n'a plus envie d'entendre quelque chose ou quelqu'un, elle les enlève, Aleksa n'a donc jamais été un problème pour elle que ce soit avant ou après sa conversation en mode binaire. C'est donc environ deux heures après qu'elle se réveille sur les canapés. Elle prend le temps de s'étirer, puisqu'ils ne sont pas super confortables, mais mieux que par terre (ce qu'elle a essayé). Elle va prendre une douche, s'habille puis met ensuite ses appareils, compte aller manger, car elle commence à avoir bien faim. Ce n'est que lorsqu'elle sort de son logement qu'elle voit qu'il y a une nouvelle règle, ou enfin, qu'il en manque une. La liste a changé, elle est plus courte. Elle lit rapidement. Cela ne parle plus de destruction. Elle se met à marcher, jusqu'à un autre écran et attend que la version anglaise arrive, mais dans ce qu'elle peut voir, cela lui semble être plus court aussi dans les autres langues. Elle relit lorsqu'elle le peut et cela se confirme : la règle a disparu.
Sa faim aussi. Tant pis si c'est un piège, elle ne peut pas passer à côté. Elle va à l'infirmerie, qui a été réparée il y a quelque temps, se prendre un scalpel, ne voyant pas trop ce qu'elle pourrait choisir d'autre. Il faut bien commencer quelque part de façon un peu plus agressive avec cette tuile. Car c'est justement vers elle qu'elle se dirige, après quelques essais non fructueux en se plaçant sur cette dernière. Elle espère que l'ouvrir de cette façon va donner quelque chose, elle est anormale depuis le début et de ce qu'elle a pu comprendre, c'est encore pire depuis qu'elle a été noyée lorsque la fontaine a été détruite. Elle s'installe par terre et se met à découper le contour de la dalle, repassant plusieurs fois doucement plutôt qu'en forçant. Elle ne voudrait pas non plus vraiment briser elle ne sait trop quoi ou encore la lame du scalpel. Elle ne pense pas pouvoir en prendre un deuxième sans problème cette fois.
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Fred a bien envie d'y aller de manière plus franche, d'en finir le plus rapidement possible. Ce qu'elle ne fait pas, pas tout de suite. Après tout, peut-être que la règle est disparue seulement pour envoyer des personnes en prison car les créateurs s'ennuient. Ou bien la méthode forte ne pourrait ne pas marcher. On ne sait pas trop, tout peut peut être possible dans cet endroit. Elle essaie, mais rien ne se passe. La tuile ne se soulève pas, rien ne semble être changée. La méthode forte donc, ce qui n'est pas pour lui déplaire. Avant d'avoir eu le temps de commencer à utiliser cette méthode, la voix de Star... non Isabel se fait entendre. Elle sursaute, concentrée, elle ne l'a pas entendu approché. Comme quoi, entendre ne veut pas dire avoir conscience de tout. Il est vrai que parfois, elle a conscience de tout ce qu'il y a dans la Ruche, ou presque, sauf de ce qui se passe près d'elle. Elle a encore besoin de temps pour s'ajuster de temps à autre. « J'pense pas... mais fallait essayer au cas. » Comment savoir ce qui fonctionne ou non avec cette place ? La prudence ne donne rien : c'est abîmé, il y a quelques morceaux et elle est toujours là. Elle se met donc à y aller moins doucement, accélérant ses mouvements et y allant de façon plus profonde. « Quelqu'un aurait pas un plus gros couteau ? » demande-t-elle, au cas où cela ne fonctionne pas. Quelqu'un a peut-être eu un cadeau de cette sorte ou en a pris un dans la machine. Elle a déjà vu un couteau cuisse dans la machine lorsqu'elle a acheté la lampe de poche, mais ne l'a plus revue par la suite. Avoir su... peut-être que quelqu'un d'autre l'a acheté. « Sinon peut-être sauter dessus... » Avec le découpage fait et les sauts, cela pourrait peut-être fonctionner. Elle ne compte pas lâcher aussi rapidement.
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Fred secoue la main devant elle, se faire surprendre n'est pas très important, la suite l'est un peu plus. Le pourquoi elle fait cela. Est-ce qu'il y a quelque chose sous cette dalle qui n'est pas comme les autres ? Avec cette règle effacée, c'est le moment de s'y attarder. De façon beaucoup plus naïve qu'elle le croit, elle pense trouver sous cette tuile une sphère pour aller trouver l'autre. Après tout, celle-ci était en-arrière de livres, pas très facile d'accès, tout comme ce bout de plancher. Pour elle, il ne peut qui avoir cela en-dessous. Elle fait aller la lame de façon plus rapide, mais rien ne se passe, suggère quelques idées à Isabel, mais cette dernière lui dit d'attendre. « Okay. » Elle donne l'impression d'avoir eu un éclair de génie et ne va donc pas la retenir. Elle continue tout de même d'essayer d'ouvrir la dalle, elle ne va pas rester sans ne rien faire. La jeune femme revient quelques minutes plus tard, avec la massue. La brune cligne des yeux, se relève et lui laisse l'espace. Si elle a détruit un mur de l'infirmerie, cela peut très bien servir à briser autre chose. « J'sais pas non plus... » Recommencer plusieurs fois jusqu'à ce que ça marche.
Elle lui laisse de l'espace et, enfin, la tuile s'abaisse un peu. Elle se met à enlever les morceaux et découvre... pas du tout une sphère. « C'est un décompte... » De quoi ? Elle ne peut pas dire. Elle reste un moment à regarder, cela baisse une fois, puis deux, dans un délai qui semble être de deux minutes environ. « Un peu plus de deux semaines... » rajoute-t-elle, après avoir calculé mentalement la durée selon ce qui a baissé. Elle se met à fouiller autour. « C'est barré. » Elle pose ses mains sur ses hanches. « Je m'attendais à une sphère... » avoue-t-elle, elle est donc dépassée, beaucoup, par les évènements. Elle se met ensuite à coller son oreiller sur les tuiles aux alentours, essayant de savoir s'il ne pourrait pas y avoir autre chose en-dessous de celles-ci. « Je me demande si y'a pas autre chose sous d'autres dalles même si elles semblent être normales. » Là, ils ont activé un compte à rebours en brisant celle-ci, cela devait être prévu. À présent que tout peut être détruit, autant en profiter, non ? « On pourrait peut-être ouvrir la porte sans les sphères... » Pourquoi pas ? Elle se lève, ayant envie de tout faire.
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Fred hoche la tête, même si elle n'est pas certaine que d'enlever des livres et que de trouver un double-fond soit détruire, ce n'est pas non plus l'état originel de la bibliothèque. De toute façon, pour trouver ce cadran il a fallu détruire la dalle. Ce qui est la seule piste depuis un certain moment à propos de la Ruche, la seule piste depuis la sphère il y a quelques mois. Il y a bien eu quelques évènements, le tremblement de terre, le froid et les rêves de ceux ayant eu six ou sept jours de refroidissement, mais rien de très clair. Elle s'éloigne donc d'Isabel, lui laisse la place pour qu'elle puisse cogner avec cette massue. Elle la laisse tomber sur les dalles autour de celle cassée, puis sur le cadran. Rien ne se passe au niveau du cadran, il est brisé, c'est tout. Rien ne se fait entendre, rien n'indique que cela a arrêté ou accéléré le compte à rebours. C'est peut-être du pipeau, elles vont le savoir dans environ deux semaines. Sous les dalles, il y a ce qui semble être un plancher métallique. « C'est un peu plus inusité, mais ça arrive... » Sauf qu'elle se doute bien que ce n'est pas innocent. « Mais d'après moi ça indique quelque chose. » Sinon, cela aurait été sur du béton, matériel un peu plus commun que le métal. Elle enlève ce qui est brisé, touche le métal de façon un peu plus direct. Elle se lève ensuite, cela n'a pas donné grand-chose. Elle va donc essayer de changer cela. Elle prend la massue, l'amène vers la porte qu'on ne peut pas ouvrir, plus pour longtemps, espère-t-elle. Elle se met à donner des coups sur la porte, utilisant toute sa force ; probablement moins que Isabel, mais cela ne lui dérange pas : ça fait aussi du bien de frapper comme ça.
Secousses. Séismes. Déluge de destruction, air entre nos mains. Les êtres encapuchonnés l'ont démontré, ils sont juge, jury et bourreaux, et leur simple volonté suffit à faire des dégâts. Monstres. Tyrans. Etrangetés, mouvantes sous nos yeux abusés. Ils n'ont rien commencé. Rien initié. Seulement réagis, punis. Conséquences presque bibliques. Bible désormais altérée par le réalité. Liberté. Illusion.
Pour une raison ou pour une autre, je me suis retrouvé sur le balcon. À mon éveil dans la Ruche, ma présence au-delà de la porte de ma chambre aurait été un véritable miracle divin. Plus maintenant. Quoi que je demeure inlassablement distant et propre à moi-même, loin est le temps de la réclusion. La culpabilité se meut dans mon ombre et à l'angle de mon regard. L'épée du passé, brillant d'un éclat froid au-dessus de ma tête, et pourtant encore assez loin pour que le gout métallique qui nimbe ma langue ne soit qu'une vague impression. Un semblant de normalité m'habite. Un éclat d'identité retrouvé rassemble la structure. Recolle les morceaux. Pendant qu'en bas, d'autres se font éclater.
Les coups filent jusqu'à mes oreilles. Ils martèlent depuis déjà un moment, mais ne m'atteignent que maintenant, vibration brutale qui lance mon cœur à vive allure. Mes pas se calent sur son rythme. La canne claque au sol avec nervosité. Hâte. L'ascenseur étire mon trajet jusqu'à la déchirure et lorsque j'atteins le rez-de-chaussée, je pars dans l'autre sens.
Les socles. Les sphères. La porte enfoncée. La dalle explosée. Les débris qui jonchent le carrelage d'un blanc poussiéreux. Les deux femmes et la masse maudite, outil du déluge. - What the hell. - Lâché-je d'une voix grave. Les deux lieux ne sont pas assez éloignés pour m'être impossible de voir ce qui se passe. Les coups pleuvent et alors que je m'avance au-dessus de la trappe de métal à l'écran brisée, Fred s'acharne avec effort sur la porte déjà malmenée. Je n'ai jamais prétendu tolérer ces déboires quand l'infirmerie en faisait les frais et le regard qui assombrit mon visage ne prétend pas plus maintenant. Je pose les yeux sur Isabel. - This again? - Accusé-je, dépité. Pourtant, cette fois, la situation semble différente. Moins déraisonnée. Peut-être parce que le règlement le permet? Peut-être parce que la patience a payé et que la structure offre elle-même l'opportunité? Peut-être parce que, cette fois, je n'ai pas plus peur de l'inconnu que le besoin corrosif de chercher la punition.
Avec difficulté et une grimace de douleur, je pose mon genou sain à terre et la main sur la trappe. Les vibrations se diffusent à travers mon bras. - Definitely coming from down there. - Dis-je à propos des grands bruits qui s'y propagent. - What did you set off...
Spoiler:
Bonjour, je viens squatter, faites pas attention au jugement désagréable, ça devrait passer MDR
Intelligence Artificielle
PNJ
Sujet: Re: Sésame, ouvre-toi | Libre Mar 6 Oct - 2:10
@Fred après de longues minutes à frapper, la porte s'ouvre enfin et ce que tu vois à l'intérieur a de quoi surprendre à première vue. La pièce de taille plutôt modeste est entièrement remplie d'écrans, de petites télévisions encastrées dans les murs, le plafond et même le plancher. Sous chacune d'entre elles se trouve une petite gravure où tu peux y lire les lettres H I V E ainsi qu'un numéro. Chaque télévision a son propre numéro, la numéro 2 pointant aléatoirement des visages te semblant familiers parce que tu les as croisés dans cet endroit où vous êtes enfermés. Un plan changeant de l'espace bouffe au salon, filmant ceux près du trou fait au sol puis quelqu'un qui est dans sa chambre ou le salon de son appartement. Seules les salles de bain semblent épargnées.
Sur les autres écrans? La numéro 3 affiche une série de petites capsules, de personnes se baladant dans un environnement tout aussi blanc que celui dans lequel vous êtes coincés (que certains pourront reconnaître comme l'environnement de Hive Discord). Là encore ce n'est peut-être pas ce qui arrivera à vous soutirer un profond frisson de terreur, mais peut-être les autres télévisions y arriveront-elles puisque ce que vous y voyez n'a assurément rien d'humain. Certains des êtres s'y trouvant semblent à mi-chemin entre les humains et les animaux, d'autres dignes de ces films d'aliens que vous avez peut-être oublié, certains sont branchés à des machines, d'autres deviennent les machines, il y a autant de créatures différentes qu'il y a de télévisions en ce qui se présente devant tes yeux et où la seule similarité semble être le toujours si blanc de l'environnement dans lesquels ils sont visiblement enfermés.
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Sujet: Re: Sésame, ouvre-toi | Libre Mer 7 Oct - 1:19
Le métal est froid, sans rien d'autre de particulier. Le métal est souvent plus froid, ce n'est pas anormal. Fred ne s'attarde donc pas longtemps là-dessus et préfère donc s'occuper de la porte. Tant pis pour les sphères. La porte ne s'ouvre pas, elle voit bien qu'elle s'est enfoncée, mais un coup n'a pas suffit, alors elle continue. Isabel s'approche, mais un instant plus tard, des explosions se font entendre de là où il y avait le cadran et la trappe. Elle hoche la tête, se reconcentrant sur la porte. Elle continue de taper dessus aussi fort qu'il lui est possible avec la masse. Elle va avoir mal partout le lendemain se dit-elle, mais ce n'est pas très important non plus. Elle tape et c'est tout ce qui compte. Puis, la porte cède enfin. Elle dépose la masse contre le mur et entre. Elle ne savait pas trop à quoi s'attendre (une porte de sortie ou des informations sur le pourquoi, comment vous êtes là), à quelque chose d'utile puisqu'il a fallu trouver un code, puis ensuite trouver des sphères non trouvables. Elle ne savait pas trop à quoi s'attendre, mais pas à cela.
Il y a des écrans de télévision de toutes sortes qui sont dans toutes la pièce. Elle reste un moment à regarder, stupéfaite de ce qu'elle vient de découvrir. Des caméras pour les espionner, ça, ce n'est pas une surprise. Une autre sorte de Ruche ? Pourquoi pas. Mais des créatures étranges ? Quoi ? Elle ne se rappelle pas en avoir rencontré dans ses souvenirs. Elle se rappelle que c'était des légendes, des trucs pour faire peur, faire rêver. Pas quelque chose de réel. Elle recule lentement. Fuck. « J'pense que j'hallucine... » Elle cligne des yeux, secoue la tête, jette un œil. Non, c'est toujours là. Bordel.
Elle revient lentement vers Isabel, voit Ridley qui est là, daignant sortir de sa tanière, l'heure doit être grave pense-t-elle, rapidement, alors qu'elle ne s'y attarde pas trop. Il y a plus important... et les politesses n'ont jamais été trop son truc. « La porte a cédé... y'a des caméras partout ici, c'est pas une surprise. Y'a une autre sorte de Ruche de ce que j'ai pu comprendre. C'est pas vraiment une surprise... sauf qu'il y a des... des... chimères et des extraterrestres dans d'autres écrans, on dirait qu'ils sont aussi enfermés eux aussi. » annonce-t-elle, pas du tout certaine. Elle ne se sent pas très bien d'un seul coup, elle doute de ce qu'elle a pu voir en dernier. « Vous pouvez regarder ? Y'avait peut-être un truc louche dans l'air... » demande-t-elle. Elle demande rarement, mais là, il y a presque le feu.
Particularités physiques : Couvert de tatouages, écarteurs d'oreille, avec des cicatrices sur les avants bras
Orientation : Pansexuel
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Sujet: Re: Sésame, ouvre-toi | Libre Dim 11 Oct - 23:35
Sésame, ouvre-toi
@ALL “I accept chaos, I'm not sure whether it accepts me.” ― Bob Dylan
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« Mehh, vous avez une technique d’déco les meufs… Impressionnante. » T’as traîné ta carcasse jusqu’à elles parce qu’il est compliqué d’rater le bruit d’ouf qu’elles font toutes les deux avec c'te masse. Tiens c’pas l’engin d’destruction massive qui a défoncé l’infirmerie ça ? En tout c’rud’ment efficace. C’tombe bien qu’la loi anti dégradation ait sauté et t’es pas surpris qu’la blouse blanche soit la première à faire tout sauter vu son caractère. Et l’autre bah t’es pas surpris non plus, c’bien la meuf qui t’a fait testé les pilules là. C’tait marrant, t’en as chié mais c’tait marrant. Sunbird fait encore la gueule et peut pas l’encadrer mais toi t’lui en veux pas. D’toute façon t’avais franch'ment pas besoin d’elle pour faire d’la merde alors voila. T’as pas aidé par contre pour les coups parc'que t’es encore moins fort qu’elles, t’es même pas sûr d’pouvoir soul'ver la masse. Non rectification : t’es sûr, t’peux pas l’faire.
En jean noir déchiré et sweat noir parce que t’as tout l’temps froid tu t’approches quand l’autre elle r’ssort un peu blanche d’la salle qu’elle a réussi à ouvrir. « S’lut » Qu’tu fais à c’lui qu’a l’air d’être aussi à l’aise qu’toi pour marcher. Pas qu’il en ait quelque chose à foutre mais t’es là alors tu l’dis. Tu bailles, elles t’ont sorti d’ta sieste sur l’canapé avec leur technique d’déco d’intérieur. « Des quoi ? » Tu la r’gardes mais bon c’pas l’genre de meuf hyper fun qui s’marre tout ça, t’as eu l’occasion d’tester pendant trois jours donc tu vas voir, marchant comme tu peux jusqu’à la salle comme t’as un soucis d’équilibre qui t’fait tanguer et t’vas même avoir une quinte d’toux en arrivant à la porte. Rah p’tain d’corps d’merde mais tu frappes un peu ton œsophage par manie parce que, soyons clair, ça sert à rien. Ptete que les autres iront plus vite. Quoique l’autre mec t’as un doute. Heureus'ment qu’il y a des meufs quoi…
T’reste appuyé contre l’mur, pour laisser les autres rentrer s’ils veulent et r’gardes les télés. « Ah bah putain… Elle a raison y’a du chelou quoi… » Y’a pas trop d’autres mots et t'fronces les sourcils en réfléchissant, car ça t’arrive parfois hein. Non t’as pas l’air hypra choqué mais vu ta considération d’la vie en général, tu trouves ça même plutôt fun. T’serais même bien partant pour aller taper la discut’ avec certains tiens. « Ça voudrait dire qu’on est pas l’seuls dans c’te p’tain de simulation tout ça ? Et qu’on est pas seul dans l’monde, m’enfin ça on s’en fout. » T’regardes les écrans avec les noms et les numéros. « Putain y’en a masse mais j’vois pas trop l’délire. Pourquoi nous montrer ça si tout est faux d’toute façon ? » Chelou non ? T’sais pas. « Et t’as fait péter quoi la blouse blanche ? » Tu d’mandes en rentrant quand même dans c’putain d’endroit, tapant sur l’endroit où y’a les plaques avec les p’tites inscriptions pour voir si ça sonne pas creux et pas moyen d’passer une lame pour soul’ver ça. T’sais jamais. Si y'a moyen tu testes, l'infirmerie est d'retour t'as chouré un scalpel.
Codage par Magma.
Ivy
F01-22
Surnom : Ivy
Prénom : Esther
Nom : /
Orientation : Bi
Métier : Inspecteur de police
Logement : Mouvant
Rp en cours : /
Sujet: Re: Sésame, ouvre-toi | Libre Mar 13 Oct - 0:21
J'espère qu'il va y avoir de quoi soulager ce mal de...
Mais qu'est-ce que c'est ? Ce bruit sourd me rappelle quelque-chose. Une seconde je Le revois qui fait des travaux dans la maison. Il attaque le carrelage de la salle de bain. Un vieux carrelage abîmé par des années d'humidité. Il a les épaules contractées par l'effort physique. Et puis plus rien. Le souvenir s'évanouit. J'inspire. Un autre clin d'oeil de ma vie antérieur. Je ne vais pas me laisser dérouter. Il faut d'abord que je...
Ca continu. Sachant ce qui s'est passé la dernière fois que quelqu'un a tapé dans un mur, je devrais peut-être aller voir ce qu'il en est. Finalement, il y a une déviation. Je m'occuperais de ce mal de ventre après. Je me guide au son. Je finis par arriver au point "d'impact".
_“Isa ?” C'est une surprise. Une bonne surprise à vrai dire. “Fred.” Je souris à sa comparse. Je ne connais pas bien le grand mec qui se trouve là. Je ne veux pas faire d'impair. Je vais me contenter d'un sourire polis. Le sourire qui passe dans toutes les circonstances. Le tour se termine sur un Echo fidèle à lui-même. J'ai un nouveau sourire moins neutre cette fois. “Salut Echos. ”
Je vois le métal déformé par des coups. Je note du coin de l'oeil la masse adossée au mur. Pas besoin d'être un flic pour saisir ce qui se passe. Elles sont entrain de bosser sur mes Socles&Co. Mince. Si je l'avais su, j'aurais pris mon carnet en venant. Tant pis. Je ne vais pas faire l'aller-retour maintenant. Il y a l'air d'y avoir quelque-chose de nouveau de l'autre côté. De quoi donner un tournant à ma journée.
_“Qu'est-ce qu'il y a là ? ” Je m'avance. Je passe naturellement devant les derniers cordés pour me rapprocher de la zone intéressante. Il me semble voir la lumière d'écrans. Des écrans ? Encore ? “Je peux voir ?” Je m'avance encore et là je suis sur le seuil de cette toute nouvelle pièce. La Ruche et ses espaces Mystère.
_“... Whaou... Ca appuie la théorie des multi-ruches!!” J'entre carrément dans la salle d'observation. Il va falloir que j'aille chercher mes notes c'est sûr cette fois. Je débute par une observation de chaque écran. Oui chacun d'eux. Echo a raison, il y a des sortes d'hybrides. Des créations de laboratoire ? Je ne sais pas. Mais il faut que je regarde ça sous tous les angles. “Mince alors! Vous imaginez ! On n'est pas seuls !! Il y a vraiment d'autres Ruches. Quelque part. Peut-être qu'il y a d'autres personnes.” Peut-être des personnes que l'on connaît sans le savoir encore ?! Pourquoi pas! Je m'installe en tailleur sur le sol pour être plus confortablement posée. Je suis le défilement des images. Il y a forcément des indices à trouver. Forcément!