Nous avons pris la très difficile décision de fermer le forum en date du 18 octobre 2020. Merci à tous pour ces beaux moments passés en votre compagnie. On vous aime tout plein! <3
Les verres s'enchaînaient, et ça tournait de plus en plus là-haut. Franchement, tu te devrais te voir dans un miroir, t'es une loque. Un monstre. 247 reprit une gorgée de son verre en continuant à danser et à chanter sa connerie, mais il se sentait partir, lentement. La Ruche était une grosse centrifugeuse et c'était son sang qui partait dans ses extrémités, toute sauf le cerveau. L'équilibre se faisait précaire, et quand il eut fini sa chanson, le verdict ne se fit pas attendre.
— TCHÔ LES NAZES JE ME CASSE !
T'as du mal à marcher ducon, tu crois vraiment que tu vas pouvoir survivre aux marches ? Mais il s'en foutait et il marchait résolument vers l'escalier, fredonnant toujours pour lui-même :
You will never have to cry 'Cause the future is sold ! You can never die and you'll never grow old Oh ohohhhh But everything surrounding you is digitaaaal !
Il arriva aux marches, sans capter qu'il avait déjà fini le verre qu'il venait de se servir, le monde autour de lui se faisant de plus en plus flou. Ouais bon, ça allait être compliqué, alors tu t'aides de tes mains et tu entreprends de monter l'escalier comme ça, à quatre pattes.
Je t'emmerde. Je fais c'que j'veux.
Never break the mold You do as you're told ! Freedom is for sale if you give them control Oohhhh Erase return in a digital world !
Tu chantes encore alors que t'arrives presque plus à marcher, à croire que c'est vraiment une seconde nature. Tu vois plus les couleurs, elles se mélangent trop, et finalement, tu te marres parce que c'est quand même sacrément cocasse comme situation, et, hilare, t'abandonnes ton extraordinaire ascension. T'es au milieu des escaliers, rond comme une queue de pelle, mort de rire, en train de chanter ton désespoir à la Ruche.
Tu pourrais dormir là.
Watch me. J'dors là si j'veux.
Et tu fermes les yeux.
Résumé:
247 se barre et décide de dormir dans les escaliers. 247 : out o/
Purple mystery for drunk bored bees Purple mystery for drunk bored bees Purple mystery for drunk bored bees Purple mystery for drunk bored bees
J'imagine que je suis chanceuse. Si on pouvait avoir des occasions comme ça plus souvent, ce serait chouette je pense. - Dit @F03-714. - Si seulement, ouais. Ça nous occuperait bien! - Encore que, vu l'état de 247 qui commence à regarder le vide, c'est une occupation qui peut vite devenir emmerdante. Mais comme elle dit, du moment que ça reste amusant... - Et sinon 247, tu le connais bien ? Ça fait longtemps que vous êtes pris ici tous les deux ? - TCHÔ LES NAZES JE ME CASSE ! - Le cri me fait sursauter et je l'observe s'éloigner, en titubant dangereusement, son verre à la main. - Pas vraiment. - Dis-je à l'attention de 714. - On s'est... croisé il y a quelque temps. Un mois je dirais? C'est... Incertain. Ouais. Incertain est le bon mot.
Je le suis du regard tout en parlant à 714 et l'observe escalader les escaliers comme s'il s'agissait d'une falaise abrupte. Quelques marches passent. Il fatigue. Il a peut-être eu l'impression d'en gravir la moitié, mais il n'a monté que quatre misérables marches avant d'abandonner. - Ok, heeu... Excuse-moi. Je vais m'occuper de lui avant que quelqu'un lui marche dessus. - Dis-je à 714 en déposant mon verre. Je fais deux pas et me retourne. - N'hésites pas à venir me trouver si jamais tu as besoin de quelque chose. Je sais que la Ruche peut être un endroit difficile à intégrer au début. Je suis toujours disponible au besoin. - Ajouté-je dans un sourire avant de pivoter à nouveau et prendre la direction des escaliers. Et de ce déchet qui me sert de point d'interrogation.
T'es un idiot. - Lâché-je en arrivant à son niveau. - Tu m'entends? 247? - Je le secoue un peu. Ses yeux s'entrouvrent. Son corps reste aussi flasque qu'un ver de terre. Au moins, il est conscient. Presque. Mieux vaut ça qu'aucune réponse. Dans un soupir, je le soulève pour l'asseoir sur l'une des marches. Bien sûr, il est incapable de se tenir droit et bascule. Je le rattrape au vol. - Ok. C'est pour mon karma plus que pour le tiens, parce que tu mériterais clairement de dormir-là. - Descendant d'une marche, je pose un genou à terre et le fais basculer en avant. Ni une ni deux, voilà un beau 247 tout vaseux, posé sur mes épaules comme on porte des seaux d'eau. C'est un poids mort. Impossible à porter sur mes bras et impossible à simplement soutenir en marchant. Il s'effondrerait. J'aurais pu le jeter comme un sac de patate, mais la tête en bas avec ce qu'il a but aurait été particulièrement problématique. Au moins, ainsi, les risques sont moindres. Heureusement, j'ai les muscles pour.
Modulant ma respiration en espérant que l'alcool ne vienne pas toquer à la porte de mon cerveau trop vite, j'abandonne l'escalier pour rejoindre l'ascenseur. Faisant attention de ne pas lui faire prendre une porte ou un mur, j'appuie sur le bouton qui nous mène au balcon et je le porte ainsi jusqu'au premier logement. À cette heure-ci, tout le monde est en bas, et je préfère m'assurer qu'il soit ailleurs que dans la sien si jamais il dort jusqu'au couvre-feu. Je ne sais pas s'il grogne, ou s'il essaye de parler. Sa voix se meurt dans sa gorge et je traverse la distance jusqu'au sol du logement. Avec une douceur suffisante pour éviter de lui faire mal par inadvertance, je le laisse retomber sur l'un des canapés. Mon visage est rouge. Je suis un peu essoufflé. Son visage est rouge. Un filet de bave coule de ses lèvres. - Oh god... - Je tourne la tête. Cet abrutis a bavé sur ma chemise. Enter ça et les éclaboussures qui collent déjà sur le tissu et ma peau... - Tu perds pas une occasion de m'emmerder... - Ai-je alors lâché à sa tête d'idiot avant de quitter les lieux.
Redescendre n'est pas une option. Pas encore. Il me faut aller me changer, après m'être lavé. Et puis, vu l'heure, honnêtement, la boisson c'est fini pour moi. Si lui n'est pas responsable, ce n'est pas mon cas, à l'évidence. Et puis, ce serait tout de même con de m'étendre un instant sur le lit, le temps de me remettre, et de m'endormir... Très con, même.
Drôle de situation que de retrouver la fontaine carburer au vin en cette matinée qui s'annonçait pourtant bien banale. Peut-être qu'il y avait une occasion à célébrer, mais tu n'en étais pas au courant. Tu en as quand même profité pour faire la rencontre de deux autres abeilles de la ruche. Et pendant que tu discutes avec 42, l'autre est reparti pour un tour. Il annonce alors qu'il décide de quitter, et tu lances un furtif regard dans sa direction. Il a déjà l'air plutôt avancé dans son état d'ébriété, vaudrait mieux garder un oeil sur lui. "Ah, je vois." 247 se met à monter les escaliers de façon bien maladroite, ça commence à en être inquiétant. Et comme de fait, 42 part à sa rescousse. Tu laisses échapper un petit rire en les voyant galérer ainsi. "Pas de problème, je crois qu'il a bien besoin de toi ! Et merci pour l'offre." Tu le regardes s'éloigner, puis reposes ton attention sur le verre qui est entre tes mains. Tu le termines en une gorgée. Tu n'es pas ici depuis longtemps, mais tu trouves que les gens ont au moins le sens de l'entraide, ce qui est bien apprécié. Dans des situations difficiles, il faut bien se soutenir. Tu regardes ton verre vide, puis tu hésites. De ce que tu as compris, les occasions se font rares de pouvoir se détendre avec un verre à la main. D'un autre côté, la journée est encore tôt, et à avoir vu l'état de ceux qui ont abusé de cette fontaine, le choix de rester n'est pas si judicieux. Tu décides donc d'opter pour l'option plus sage, et tu te rends au comptoir oû déposer ton verre avant de quitter l'aire commune.
« OH BAH NON PARTEZ PAS ! On commençait tout juste à s'amuser ! » Sur le visage de 626, la même expression qu'un enfant de 3 ans à qui on aurait donné un jouet avant de lui enlever aussitôt. Il voulait s'amuser, boire et continuer à chanter, lui ! Puis boire, surtout. S'asseoir par terre avait été une mauvaise idée. Déjà ce n'était pas si confortable que ça et en plus se relever était digne d'être l'un des travaux d'Hercule. Enfin bon, Hercule, j'l'en OH! Sa pensée fut coupée nette quand 903 entra de nouveau dans son champ de vision. Aaaaah, elle était restée, elle. C'était là le principal, non ? Terminant de péniblement se lever, il alla jusqu'à elle et la personne lui tenant compagnie.
Il leur offrit une révérence plus que bancale, leur tirant son imaginaire chapeau. « Bonsoir, Mesdames. Puis-je vous offrir un verre ? » Mince, il avait oublié les verres. D'ailleurs, il était où le sien !? Il lança quelques regards affolés avant de finalement le repérer. Bordel, il gisait là, au sol, certainement dû à sa fastidieuse relevée. 626 eu une pensée pour tout ce breuvage partie trop tôt dans une guerre qui n'était pas la sienne. Il se promit de ne plus laisser couler inutilement le sang d'innocents tels que lui. Puis la réalité lui rappela gentiment qu'il faisait toujours face à deux demoiselles. Ou mesdames, il ne savait plus trop ce qu'il avait dit précédemment. Il s'adressa d'abord à l'inconnue qui semblait maternée 903. Du coup il l'aimait bien, parce que ceux gentils avec elle, il les aime bien. « Ne vous en faites pas, je suis beaucoup moins pensez que vous bourré que je suis. » Son large sourire était certainement tout aussi rassurant que son discours. Ensuite, il se tourna vers l'objet de sa convoitise. « 903, tu viens ? J'ai envie de toi sur la piste de danse, c'est nul de chanter tout seul et puis tes chansons que tu connais sont cools en fait ! »
Elle était vraiment sympa, cette fille. Et puis le fait qu'elle ait changé son matricule en choisissant un nom, ça la fascinait. Comme cette... "M", d'ailleurs ça faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas vue. Ivy, Ivy. Elle l'aimait bien, Ivy ! Même si elle était bien trop sobre... ou alors c'était elle qui était bien trop alcoolisée. Bref, peu importe, c'était pas ça qui comptait de toute façon. Elle était sympa avec elle, et 903 était assez désinhibée pour accepter ça totalement. Bon, parfois elle était un peu trop zélée. Comme quand elle a proposé d'aller voir le gars qui venait de partir. 903 avait secoué vigoureusement la tête, n'ayant absolument pas envie de se retrouver à côté du gars qui la mettait mystérieusement mal à l'aise. Mais Ivy ne pouvait pas savoir.
« Veux-tu que je t'accompagne à l'infirmerie pour que tu sois au calme ? Un peu ? » Au calme ? Oh non, ça venait seulement de commencer... « Hein ? Euh... tu crois ? J'en suis pas à ce stade, quand même... » elle avait l'air si déchirée que ça ? Peut-être, après tout... Malheureusement pour les bonnes intentions d'Ivy, 903 fut vite déconcentrée par une voix familière. « Bonsoir, Mesdames. Puis-je vous offrir un verre ? » c'était 626. Le visage de 903 s'illumina d'un sourire, heureuse de revoir son ami comme si cela faisait des heures qu'ils n'avaient pas improvisé un karaoké. En tout cas, lui était dans le même état qu'elle, et c'était hilarant. « Ne vous en faites pas, je suis beaucoup moins pensez que vous bourré que je suis. » 903 voulut retenir son rire mais c'était mission impossible. Elle pouffa avant de partir dans un éclat de rire aussi spontané que sincère. Posant sa main sur l'épaule nue de 626, elle fit mine de s'essuyer un œil. Ah purée, c'était normal de trouver que les gens sont toujours plus bourrés que vous ? Alors que c'est absolument pas le cas, parce qu'elle ne voyait pas que ses gestes étaient très... chancelants.
« 903, tu viens ? J'ai envie de toi sur la piste de danse, c'est nul de chanter tout seul et puis tes chansons que tu connais sont cools en fait ! » les yeux de 903 se mirent à pétiller sous tant de propositions alléchantes et... d'affection ? Ni une ni deux, elle lui prit le poignet et le ramena vers la fontaine. Elle prit tout de même la peine de jeter un oeil par dessus son épaule. « Tu peux venir avec nous si tu veux, Ivy ! » c'était sa nouvelle copine, après tout. Arrivés à la fontaine, 903 partit en quête de verres (car elle avait également perdu le sien, bien entendu). Les premiers sous la main feraient l'affaire, ils étaient trop imbibés pour faire attention à l'hygiène de toute façon. « Ok, mais d'abord il nous faut des munitions. » elle plongea les deux verres dans le liquide violet avant d'en donner un à 626, débordant d'alcool. On se serait cru dans une orgie de Bacchus, c'était purement fou. Son alcool en main, 903 lança un regard malicieux empli de défi à son compère. « Chiche de faire un cul-sec ? » elle savait qu'il n'y avait que lui pour accepter un tel challenge à la con. 903 trinqua une nouvelle fois, puis croisa son bras avec celui de 626. « Go ! » et glou, et glou. Ils s'en foutaient partout, mais ça la faisait juste marrer. Mais le verre était tellement rempli qu'un cul-sec était totalement impossible. Elle finit par abandonner, hilare, se tordant de rire en s'éloignant de son ami. « Hahahaha, putain, j'ai failli recracher le truc par les trous de nez ! » fit-elle à moitié morte de rire.
Puis, comme si elle avait eu une illumination soudaine, 903 changea de sujet aussi vite que sa concentration lui permettait. « Oh ! Oh ! Tu sais ce que c'était ma première chanson... la première chanson dont j'me suis souvenue ici ?! » il voulait qu'elle chante, non ? Elle voulait bien qu'il chante aussi, d'ailleurs. Mais elle n'avait pas le temps de lui dire, ses cordes vocales s'étaient déjà activées. « All you need is love... » commença-t-elle « ... c'est les Beatles. » oui, ok, 903. « All you need is love ! » elle plongeait son regard dans les yeux marron de 626 comme pour lui insuffler une épiphanie et qu'il se mette à l'accompagner. « All you need is love, love... » elle s'était mise à se dandiner légèrement, encore éprise par le rythme de la musique qui berçait ses sens. Aussi doucement et lascivement qu'une nymphette ivre, elle chantonnait l'hymne des quatre garçons dans le vent jusqu'à ce qu'elle se rapproche de 626 et pose ses bras sur ses épaules, sans vraiment réfléchir ni se rendre compte de ce qu'elle faisait. Elle en avait juste envie. Et à ce moment, elle n'avait aucune raison de ne pas le faire. « ... love is all you need. » finit-elle, tout sourire, pas le moins perturbée et totalement joueuse. Puis soudain, une autre révélation. « 626 tu crois pas qu'on devrait remplir des trucs ? » après tout, cette fontaine ne serait peut-être malheureusement pas éternelle... Et ce moment, elle voulait qu'il le soit.
(c) oxymort
Ivy
F01-22
Surnom : Ivy
Prénom : Esther
Nom : /
Orientation : Bi
Métier : Inspecteur de police
Logement : Mouvant
Rp en cours : /
Sujet: Re: Purple Haze [Libre - Event 17 mars] Sam 9 Mai - 9:56
pain(t)
ft. @"H02-247"
Je dois bien me rendre à l'évidence que 903 n'a pas envie d'être au calme, aidée, ou quoique ce soit qui se rapporte à de la prudence. Je lui rend un sourire alors que le fameux 626 approche tout justement vers nous. En un quart de seconde je vois que ces deux-là ont le courant qui passe... dans toute leur ébriété.
_“Merci ! Je pense que je vais plutôt rester là pour le moment.” Je lui fais signe de suivre celui qui lui plait. De toute façon, je ne peux pas faire beaucoup mieux que d'être une veilleuse à distance. Je suis passée dans le coin pour ça de toute façon.
Je vais m'assoir un peu plus loin. Un point stratégique pour voir la fontaine sans déranger les fêtards. Ils ont l'alcool heureux ça c'est clair et net. Je ne peux pas m'empêcher de sourire à les voir danser et rire. Je les écoute aussi chanter un standard des Beatles. Je me souviens de cette chanson moi aussi. Je chantonne doucement pour les accompagner:
_“All you need is love ta-ta da-da-daaaa ! All you need is love... ” Ca c'est bien vrai. Un peu d'amour ça ne ferait pas de mal.
Particularités physiques : Bras gauche avec de nombreux tatouages.
Langues : Parle anglais couramment. Se débrouille avec le français, l'espagnol et le portugais.
Logement : 2-B
Sujet: Re: Purple Haze [Libre - Event 17 mars] Dim 21 Juin - 13:41
@F01-903 l'attrapa par le poignet et c'est avec plaisir qu'il se laissa emporter jusqu’à la fontaine par la demoiselle. Et en plus, elle était partie leur chercher de l'alcool ! Bon dieu, une femme pareille, il fallait vite l'épouser avant de la perdre ! Quoi que, même bourré comme il l'était, le mariage lui semblait une mauvaise idée.
« Chiche de faire un cul-sec ? »
S'il était chiche ? Mais pour qui le prenait-elle ? A peine le go eut-il retentit qu'il porta le gobelet à ses lèvres pour le vider. Une bonne partie dans le gosier, mais aussi beaucoup tout autour. Le liquide lui ayant à moitié couler sur le visage et le torse, terminer son verre ne fut pas un défi insurmontable. « Bllblfflj » Oops, il avait peut-être oublié d'avaler la dernière gorgée avant de parler. Sinon, elle aurait pu l'entendre se vanter de ne jamais reculer face à un cul-sec.
Les Beatles ? Mouais, ça sonnait vaguement familier comme nom. De là à dire qu'il s'en souvenait... Mais 903 était si gracieuse et douce là qu'elle chantait que ça ne lui importait pas vraiment. Il plongea son regard dans les étendues bleues qu'étaient les yeux de son amie et se laissa porter. Elle se rapprocha de lui et son corps réagi seul, comme si elle l'avait envoûté. Il déposa ses mains sur sa taille et entama une danse douce, les yeux toujours dans les siens. « All you need is love ». La chanson semblait lui revenir, ou bien était-ce parce qu'elle se répétait beaucoup, difficile à dire. N'empêche que cet instant lui semblait magique, comme s'ils étaient dans une bulle hors du temps. Il aurait pu rester des heures à danser et chanter avec son amie. Amie ? Ça sonnait étrange d'un seul coup, dans sa tête. Mais il avait trop bu. Et là ce qu'il voulait, c'était profiter. Il glissa une main dans jusqu'au bas des reins de sa partenaire et l'attira vers lui pour terminer les derniers instants de la chanson.
« 626 tu crois pas qu'on devrait remplir des trucs ? »
Wow, elle ne perdait pas de temps avec ce genre de proposition. Non pas qu'il soit contre hein, au contraire ! Mais formuler ça comme ça... Était-il en train de rougir ? Nooooooon, c'était juste l'alcool à coup sûr. « Bah euh ouais, ça me va. »
Puis son cerveau, bien qu'un peu en retard, lui envoya finalement ce qu'il aurait dû décrypter dès le début dans le phrase du 903. Mon dieu qu'elle était géniale ! « MON DIEU QUE T'ES GÉNIALE ! » Sans laisser à son esprit le temps de réfléchir, ses mains attrapèrent le visage de 903 pour l'amener jusqu'au sien et l'embrasser. L'idée lui semblait tellement bonne qu'il lui avait paru qu'au moins ça était nécessaire pour la célébrer.
Le baiser, bien que rapide, fut intense. Lorsqu'il relâcha enfin le visage de la jeune femme, ses yeux pétillaient d'excitation à l'idée de mettre en oeuvre le plan trouvé. Le baiser, lui, semblait être la chose la plus normale au monde pour 626 qui était trop alcoolisé pour être perturbé.
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